Qui es-tu ?
Je m’appelle Cyril Houillon et je suis développeur freelance. Je suis développeur en Java et je fais aussi du coaching technique.
Comment as-tu découvert Le Cercle ?
J’ai un collègue qui l’a fait l’année dernière et en voyant son retour dessus, je me suis dit « Si ça l’a intéressé, peut être que ça peut m’intéresser », vu que je devenais freelance à ce moment là et je ne regrette pas du tout mon choix pour le moment.
Qu’est-ce qu’il t’a aidé à accomplir ?
Ce qu’ils m’aident à accomplir, puisque c’est un travail qui est toujours en cours, de réussir à changer d’état d’esprit, à sortir de cette logique de salarié dans le service, on va dire. Et ce que m’apporte le Cercle, déjà, c’est des exemples de réussite là dessus, une ouverture sur des possibles nombreux, puisque du coup, on est énormément de profils différents. Donc toute une richesse que je ne savais pas qui existait sur les développeurs freelance. Ça m’aide à construire une légitimité par rapport à ça aussi.
Qu’est-ce que tu as aimé cette année ?
Toutes les rencontres qu’on a fait sont assez différentes, puisqu’en dehors même des sujets qui sont variés, les intervenants aussi viennent avec leur personnalité. Ce que j’ai bien aimé aussi, c’est que j’ai eu de la chance. C’est-à-dire chaque formation est venue au moment où j’en avais besoin.
Le Cercle en 3 mots c’est ?
J’ai envie de dire soutien en premier lieu, parce que du coup, il y a quand même cette notion où on se rencontre tous pour la première fois aujourd’hui. Il y en a qui se sont déjà vus, mais on se rencontre là pour la première fois. Mais pour autant, il y a déjà quand même cet aspect entre aides qui existe via Slack ou le forum. Je sais que j’ai des collègues avec qui on a déjà échangé deux heures par téléphone avant d’aller voir un client ou un truc comme ça. Et ça fait du bien d’avoir ce soutien. La motivation aussi. La motivation, c’est un gros facteur de motivation. C’est un truc qui, potentiellement, peut avoir tendance à redescendre. Du coup, le Cercle, c’est bien que ça entretienne ça, nous rappeler un petit peu nos objectifs qu’on s’est fixés, qu’on peut parfois perdre de vue quand on est à gérer le quotidien. Des rêves et rêve, oui, puisque on est aussi dans cette approche à se dire : il faut pas se limiter. C’est bien de rêver et on se retrouve à passer un week-end dans un château incroyable. Et du coup, ça paraît OK de dire
“Tiens, je peux mettre ça comme objectif dans dix ans. » Je voudrais ça.
Que dirais-tu pour nous rejoindre ?
Même si le métier de développeur, c’est bon, on est au top là dessus. Le métier d’entrepreneur, quelque part, c’est quelque chose auquel on n’est pas forcément formé et sur lequel il y a énormément de travail à accomplir, mais il y a des gains très rapides à faire en s’y mettant dès maintenant et en faisant partie du Cercle.
Découvrir le profil de Cyril sur Linkedin.