Qui es-tu ?
Je m’appelle Adrien Turpin. Ça fait une petite dizaine d’années que je suis dans le monde du développement d’applications de gestion. Je suis passionné. Actuellement, je suis sur un projet, ça fait deux ans. Ce que je fais sur le projet, exactement, c’est un peu compliqué parce que j’ai plusieurs casquettes. En gros, c’est dès qu’il y a un problème, c’est « Adrien, on a besoin de toi là dessus » et du coup, je dois régler les problèmes qu’on a. Donc ça va simplement du développement à la revue des US (User Stories) pour voir si c’est bon à développer, s’il manque pas quelque chose, si on peut pas la retravailler, jusqu’à la partie infrastructure.
Comment as-tu découvert Le Cercle ?
J’ai découvert le Cercle grâce au podcast de Benoît. Et sa promesse était assez intéressante. C’était de vivre une carrière épanouissante, le mantra de son podcast. Je dois avouer que j’ai envie de vivre une carrière épanouissante et je me suis aperçu qu’il fallait que j’aille un petit peu plus loin pour ça. Et du coup, je me suis un peu intéressé à ce qui se faisait à côté. Et du coup, c’est là où je suis tombé sur le Cercle.
Qu’est-ce qu’il t’a aidé à accomplir ?
Ce n’est pas quelque chose qui est concret, que je peux mesurer, mais par contre, ça m’a permis de mûrir sur des réflexions. Et le Cercle permet, en fait, m’a permis, en tout cas, de me recadrer sur ma position, ma posture. Ça m’a permis d’avoir une carte assez précise de ce que je voulais faire, ce que je ne voulais pas faire, comment il fallait que j’améliore certaines choses. Et puis aussi, ça m’a permis de rencontrer d’autres freelances qui avaient cette envie de s’améliorer et qui rencontraient au final les mêmes problèmes que moi.
Quels changements as-tu remarqués dans ta posture ?
Moi, j’ai pris conscience aussi des différentes dimensions qui existaient dans le monde de l’entrepreneuriat. Parce que être freelance, ce n’est pas seulement être un professionnel, être un expert ou whatever, c’est vraiment être un entrepreneur au sens large du terme. Et quand on fait comme moi, salarié freelance, on ne se pose pas du tout de questions, on arrive à « Tiens, j’ai plus d’argent, c’est miraculeux, je peux en dépenser plus. » Non, non, non. Et du coup, en fait, cette capacité à devoir anticiper en permanence, à avoir justement une échelle qui est plus la même, au final, à gagner en autonomie, ça se fait pas sans… Je ne vais pas dire douleur, mais sans quelques problématiques. Et c’est ça que le Cercle m’a apporté. Et surtout aussi, ça ouvre des perspectives. Puisque, encore une fois, avec les personnes qu’on va rencontrer, les intervenants qui vont venir, on va pouvoir voir une dimension autre.
Qu’est-ce que tu as aimé cette année ?
La convention, de très loin, parce que le Cercle étant dématérialisé, j’ai beaucoup aimé cette partie là, même si c’est purement de l’humain. J’ai beaucoup aimé échanger avec ces gens là. Et surtout la dimension quand on est freelance et qu’on est seul, entouré de salariés, il y a une espèce de solitude. On voudrait parler de sujets, on voudrait parler d’argent, on voudrait donner des chiffres. Et du coup, être entouré de personnes qui ont justement ces mêmes codes et pouvoir échanger librement, ça fait quand même plaisir.
Le Cercle en 3 mots c’est ?
Échange, réseau et puis, on va dire, de l’apprentissage. Ça va même un petit peu plus loin sur la partie apprentissage, c’est l’apprentissage continu. Et dans le sens du partage, ce n’est pas forcément un partage bilatéral, ça peut être un partage unilatéral comme on va avoir les sessions avec une personne qui va nous donner de l’argent, qui va nous nourrir et du partage bilatéral quand on va être entre nous et on n’aura pas un intervenant extérieur. C’est ça qui est très intéressant.
Que dirais-tu pour nous rejoindre ?
Viens, on est bien. C’est aussi simple que ça. Après, s’il faut un peu plus de factuel, du coup, viens vivre ta carrière épanouissante avec nous aussi. Je ne suis pas déçu.
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