[00:00:00.000] – Pierre
Bonjour Benoît.
[-1:59:59.970] – Benoit
Bonjour Pierre.
[00:00:02.070] – Pierre
Bienvenue à toi, chère auditrice, chers auditeurs, dans Le Cercle.
[00:00:06.760] – Benoit
Le podcast pour les freelance techs qui veulent gagner leur liberté.
[00:00:11.230] – Pierre
Aujourd’hui, nous allons aborder le sujet de…
[00:00:14.160] – Benoit
Du cercle, l’envers du décor du cercle.
[00:00:17.760] – Pierre
Aujourd’hui, on va te parler du cercle. Peut-être quelques mots sur le cercle.
[00:00:20.980] – Benoit
Le cercle, c’est un parcours de coaching et de formation pour les freelances techs qui veulent gagner vraiment leur autonomie, leur liberté.
[00:00:30.100] – Pierre
Aujourd’hui, à toi qui nous écoute, on avait envie de te parler de quelques succès qu’on a eu dans le cercle. Ce bien aussi de se remémorer les succès, fêter chaque victoire. Ça, c’est un mantra, mais aussi des galères et puis comment on avait pu être résilient. Donc, reste à l’écoute et on va te raconter ce qu’on a vécu les derniers mois.
[00:00:45.780] – Benoit
L’envers du décor, tu sais, ce truc pas très sexy qu’en général, les gens ne partagent pas ou que les super entrepreneurs ne partagent pas ou pas sous silence ou bien plus tard, quand il y a un beau storytelling à faire avec, on a envie de partager ça. C’est du tout frais, c’est de l’actualité, même si certains sujets ont quelques mois. Là, l’épisode est enregistré début mars, il sera publié plus tard. Mais toi, quand tu l’écouteras, on espère que ça te donnera de la matière pour réfléchir.
[00:01:14.380] – Pierre
La première est qu’il y a quelque chose qui est impressionnant au niveau du cercle, en tout cas dans nos succès, c’est qu’on sait qui est notre cible, on sait qui est notre client. Et ça peut paraître basique, mais en fait, c’est une recherche longue difficile. Et alors, il y a un truc qui marche bien, c’est qu’on sait qui est notre non-client. Ça, c’est juste génial.
[00:01:37.460] – Benoit
Je ne crois pas que ce soit simple parce que c’est un débat qu’on a régulièrement avec Pierre, de savoir qui ont droit à adresser parmi les freelances tech ou pas. On a défini d’ailleurs, on pourra mettre dans la description de l’épisode une page qui définit clairement qui est notre avatar et qui ne l’est pas. Et la tentation est grande d’aller lorgner vers d’autres segments qu’on n’adresse pas aujourd’hui. Et il faut en permanence se rappeler qui on veut cibler ou pas. Parce que ça, c’est une décision. Ce n’est pas une décision que tu me remets en cause tous les quatre matins. Quoique, parfois, la tentation est grande.
[00:02:10.710] – Pierre
Et puis, à chaque fois qu’on en parle, juste, il faut garder en tête qu’on diminue la taille de la cible. C’est une bonne chose.
[00:02:18.460] – Benoit
Tant qu’il y a un marché. Dans les autres bonnes nouvelles, en mars dernier, on a ouvert notre nouveau cercle, un nouveau cercle. Là où c’est nouveau par rapport au passé, c’est que jusqu’à maintenant, on n’avait qu’une campagne recrutement annuel. D’ailleurs, c’est peut-être lors de cette campagne de juin, mai, juin, que tu entendras cet épisode. Il y avait l’envie de créer une nouvelle phase de recrutement en milieu d’année pour non plus pouvoir rejoindre le cercle qu’une fois par an, mais deux fois par an. Et ça s’est plutôt, au final, bien passé. Le résultat, en tout cas, a été positif puisque le cercle affiche complet.
[00:02:54.940] – Pierre
Et dans les choses qui marchent bien, Benoît, il a un profil plutôt créatif. Moi, j’ai un profil plutôt gestionnaire. Et en fait, il s’avère que notre prod, elle fonctionne bien. Parce que c’est cool de vendre des choses à des clients, mais il y a un moment, il faut assumer et il faut que ça délivre. On a une prod qui tourne et on a une prod qui passe à l’échelle. C’est-à-dire que concrètement, il faut organiser le quotidien du cercle, des membres, des formations, des fils rouges, des arènes. Il se passe plein de choses au sein du cercle, c’est bouillonnant. On a un projet qui fonctionne plutôt bien.
[00:03:34.380] – Benoit
Ce qui est cool, surtout, c’est que dès le début, il y avait cette envie de ne pas être dans le chemin critique. Il y avait l’envie que le cercle puisse vivre quelque part un peu sans nous, qu’on ne soit pas Qu’on ne soit pas aussi le facteur limitant de la chose. Et moi, je suis hyper satisfait de voir qu’on a réussi à trouver une organisation qui permette de passer à l’échelle. Aujourd’hui, on est 38 membres. Je suis extrêmement serein, même si je sais qu’il va falloir mouiller le maillot, je suis serein pour passer à 100 membres ou à 200 membres sur notre manière de nous organiser à la prod.
[00:04:07.160] – Pierre
Vous voyez ? Et alors, si tu ne le sais pas, toi qui nous écoute, on a une règle du jeu avec Benoît. Benoît et moi, on a chacun un jour par semaine maximum à consacrer au cercle. Et en fait, cette règle du jeu, c’est quelque chose qui nous permet d’être créatifs. En fait, ça nous oblige à être créatifs. Quand on veut faire les quand il faut passer des heures à produire des choses, on doit aller straight to the point, efficace, focus et déléguer. Et ça, c’est dans notre organisation, quelque chose qui marche bien aussi. Et j’en profite pour passer le bonjour à Clara, qui nous supporte, qui nous soutient, qui nous accompagne et qui fait une bonne partie des choses qu’on ne peut pas faire puisqu’on est limité à un jour par jour.
[00:04:56.320] – Benoit
Et moi, j’ai envie de passer de la même manière le bonjour aux animatrices, qui sont les animatrices la prise des cercles, c’est elles qui viennent chouchouter, prendre soin de chaque cercle et qui assurent toute une partie de la prod, ainsi que les formateurs aussi. On peut passer un bisou à tous les formateurs qu’on fait intervenir pour accompagner les membres.
[00:05:15.370] – Pierre
Dernier succès, puis après, promis, on passe aux galères, c’est les résultats des membres.
[00:05:20.920] – Benoit
Moi, je suis bluffé. Moi, il y a certains témoignages, certains retours qui me donnent le frisson de me dire: Ouais, génial, on y arrive. On arrive à aider les gens à provoquer des déclics, de petits déclics qui deviennent de gros déclics. Et ça, c’est extrêmement satisfaisant.
[00:05:38.790] – Pierre
On a des membres qui ont fait des choses qu’ils n’auraient jamais imaginées en termes de résultats. Et moi, il y a un terme que j’aime beaucoup, c’est l’effet cliquer. En fait, une fois qu’ils se sont prouver à eux-mêmes que c’était possible, ils ne peuvent pas revenir en arrière. Et le but, ce n’est pas forcément de à faire un étalage là maintenant de ce qui s’est passé. On a juste des freelances qui se sont rendus compte qu’en prenant en main leur vie d’entrepreneur, il y a des choses qui sont possibles. Ce cliquer, il est magnifique parce qu’on En fait, on a littéralement, ils ont littéralement changé leur vie, fait évoluer leur manière de voir les choses.
[00:06:21.390] – Benoit
Que ce soit… Il y a des métriques qui sont assez faciles à mesurer, que ce soit sur des gains financiers avec une augmentation significative du chiffre d’affaires, mais que ce soit aussi, et là, sur des choses plus subtiles et pourtant qui ont peut-être plus de valeur, un rythme de vie qui colle plus à leurs besoins, à leurs envies ou alors une manière de faire du business qui soit radicalement différente. Mais le mieux pour en parler, c’est les témoignages des membres. Si tu veux voir un petit peu plus, toi qui nous écoute, ce que ça peut donner, viens écouter que ce soit les podcasts. Il y a deux podcasts avec des membres qui ont fait un témoignage ou sur la page du parcours qui décrit le parcours, il y a aussi des témoignages des membres. Viens les écouter. Je pense que ces choses-là parlent d’elles-mêmes et ça parle… Je ne suis pas sûr qu’il y ait beaucoup besoin d’en rajouter.
[00:07:09.730] – Pierre
Le cercle, l’envers du décor, les succès. Maintenant, on va parler de choses qu’on ne raconte pas d’habitude, nos galères ?
[00:07:18.750] – Benoit
Qu’on raconte, en tout cas, au sein du cercle, avec les membres du cercle, puisqu’il y a vraiment cette logique de construire le cercle avec un maximum de transparence vis-à-vis des membres, qui donne l’occasion de voir les choses de l’intérieur. Mais voilà, là, on avait envie de parler de ces choses-là aussi pour te montrer que faire décoller un business, ce n’est pas simple.
[00:07:37.780] – Pierre
La première chose, c’est qu’avec Benoît, on s’est dit: OK, il faut qu’on mette en place une machine marketing à générer des prospects. Plus on va faire un effort en amont pour avoir une machine rodée, structurée, plus on sera capable de faire du volume, plus ce sera facile de faire des ventes.
[00:07:57.800] – Benoit
Et on a mis en place et construit aujourd’hui une première version, ou en tout cas une machine un petit peu plus évoluée que ce qu’on a eu jusqu’à maintenant en fin d’année dernière, de septembre à décembre, d’octobre à décembre, avec l’envie d’ouvrir un nouveau cercle. Et on s’est rendu compte que cette machine me donner des résultats, mais que ça ne se passait pas comme prévu.
[00:08:19.330] – Pierre
En fait, sur le volume, on a généré 690 nouveaux prospects en quelques mois et on s’est dit: C’est bon, le job est fait, il n’y a plus qu’à passer au cycle de vente. Et puis, en 15 jours, trois semaines, ce sera clos.
[00:08:36.140] – Benoit
Sauf que ça ne s’est pas passé comme ça.
[00:08:40.170] – Pierre
Donc, concrètement, pour reprendre la mécanique, on s’adresse à notre base, c’est-à-dire qu’on s’adresse au contact qu’il y avait déjà et qui étaient déjà en lien sur nos réseaux respectifs via ArtisanDéveloppeur. Et on s’adresse au nouveau contact. Donc, on a une séquence d’emails où on raconte un certain nombre de choses. Alors, pour le coup, là, c’est Benoît qui a pris la parole et on raconte des choses qu’on vit en tant que freelance tech et on montre qu’on peut faire les choses différemment. Et ça a généré deux rendez-vous.
[00:09:11.180] – Benoit
Sans rentrer dans le détail, surtout que là, on a une boîte de temps à respecter, il nous reste sept minutes pour finir cet épisode. Sans rentrer dans le détail, très clairement, les résultats à l’issue de la première semaine de campagne où on avait une campagne sur deux semaines n’étaient clairement pas là. On a su le regarder en face, constater qu’on partait sur une très mauvaise trajectoire. Et puis, il recrée un nouveau plan. Et là, très clairement, il a fallu donner un gros coup de collier où on est allé chercher d’autres choses, où Il a fallu être créatif pour aller trouver plus de monde. On a publié de manière plus large. On est allé chercher certains futurs membres, certains prospects un par un au téléphone en faisant de la prospection, vraiment à l’ancienne. Il a On a dû donner ce coup de collier et au final, les efforts ont payé. Ça, c’est la bonne nouvelle. C’était pas garanti du tout, mais ça a été plutôt satisfaisant et ça a bien marché.Une.
[00:10:11.330] – Pierre
Première galère qu’on a réussie à surmonter avec résilience.Moi.
[00:10:14.540] – Benoit
Ce que j’ai Ce que j’ai particulièrement aimé dans cet épisode-là, c’est que, que ce soit Pierre ou moi, à aucun moment donné, on a cherché à se rejeter la balle, à se fouetter, que ce soit mutuellement ou soi-même. On a pris nos responsabilités et puis on était très orientés sur la solution Bon, OK, ça ne s’est pas passé comme prévu. Comment est-ce qu’on peut s’en sortir ? Et ça, c’est quelque chose que j’ai d’autant plus apprécié que ce n’est pas ce que j’ai toujours vécu dans les boutiques où je suis passé, où la tentation est grande d’aller chercher un fautif ou des choses comme ça. On a su avancer en assumant nos responsabilités et en assumant que notre plan était foireux.
[00:10:52.550] – Pierre
Oui, on a vraiment travaillé sur ce sujet de: OK, on n’est pas bons, on n’est pas aussi bons ce qu’on aurait voulu, qu’est-ce qu’on fait ? Et on s’est remonté les manches, on y est allé. Je pense que c’est un des secrets, c’est le jour où ça ne va pas-Dans les galères qu’on a pu avoir et qui nous ont marqué aussi, on t’a parlé des succès de certains membres, mais il y a aussi des membres qui galèrent.
[00:11:15.280] – Benoit
Ce n’est pas évident. Et puis surtout, il n’y a pas de magie. Sinon, d’abord, ça serait beaucoup plus cher. Mais si tu rejoins le cercle, si tu as envie de nous rejoindre, il va falloir mouiller le maillot toi aussi.
[00:11:27.890] – Pierre
Ça, c’est un point qui est important et la bonne nouvelle, parce que tu pourrais te dire: Moi, je suis freelance, je rame déjà aujourd’hui. Pourquoi j’irai ramener dans le cercle ? Et je te comprends et ta question, elle est légitime. En fait, la différence entre l’extérieur du cercle et l’intérieur du cercle, C’est la force de la communauté, c’est l’entraide. C’est que tu te rends compte que tu n’es pas tout seul. Tu te rends compte qu’en fait, les galères que tu as, ce n’est pas toi qui les a, mais c’est tout le monde. C’est qu’on a tous des galères, on est tous tous des humains et en plus, nous, mais les autres aussi, racontent l’envers du décor. C’est-à-dire que Benoît et moi, on explique ce qui se passe sur nos différents projets entrepreneuriaux de manière la plus transparente possible en racontant les succès, les galères, les questionnements, les détours. Et donc, en fait, on a des membres qui rament, mais pas tout seuls. C’est ça la différence. Le cercle, il est là pour te supporter dans tes galères. Pour sabrer le champagne, tu as toujours des amis qui sont disponibles. Quand c’est difficile, il n’y a plus grand monde.
[00:12:34.220] – Pierre
Nous, on peut te faire une promesse, c’est que si tu fais partie du cercle, le jour où c’est difficile, tu peux compter sur nous. Bien sûr que quand ça va bien et qu’il faut sabrer le champagne, on sera là aussi. Mais on sera aussi là et on sera particulièrement attentif à être là les jours où ça ne va pas, les jours où c’est plus compliqué et travailler ensemble en communauté.
[00:12:59.230] – Benoit
La résilience. Parce que cet effet de groupe, ça amène deux choses. Ça amène du soutien et ça amène aussi du temps. Tu gagnes du temps. Et c’est vraiment l’esprit de la jeunesse du cercle. C’est aider les freelances à aller plus vite vers leurs objectifs. En tout cas, pour ceux qui veulent sortir d’une régie classique. Et même dans la gérésie classique, il y a pas mal de points d’amélioration. Si tu veux trouver tes missions par toi-même et dormir sur tes deux oreilles. Donc, il y a vraiment ce double effet qui se coule d’être te faire entourer de pairs qui te comprennent et avec qui tu peux partager tes galères. Et puis de gagner beaucoup de temps, que ce soit par le repartage d’expérience, mais aussi par le parcours que tu vas suivre au sein du cercle.
[00:13:40.890] – Pierre
Si toi aussi, tu veux monter un business et sortir des contraintes de la régie en tant que freelance tech, tu peux rejoindre le cercle. Tu auras l’occasion de voir comment ça fonctionne de l’intérieur, que ce soit pour le cercle ou pour d’autres business. Et pour ça, il suffit que tu viennes sur lecercletech.com. On te propose des petits cours en ligne, puis on a une page qui s’appelle Le Parcours, sur lequel on explique tout. Puis, contacte-nous, ouvre la discussion. On est de l’autre côté, on t’attend. À bientôt.